Nouvelle perspective sur le changement

Le monde s’est scindé en deux depuis la grande accélération des réseaux sociaux.

Il y a ceux qui ont pris le train du progrès, en postant leur statut sur Facebook ou leur story Instagram dès qu’un embouteillage survient…

Et il y a les Gaulois, ces irréductibles qui en dépit de toute la modernité qu’on leur propose… ne voient pas l’intérêt.

Disclaimer : Oui, cet exemple est caricatural. Mais attendez…pas tant que ça.

C’est fascinant de voir comment l’effet de nouveauté impacte les comportements des gens.

Le besoin d’être dans le coup…

… De revendiquer son appartenance avec ceux qui sont likeminded,

… De tester ce qui sort en premier,

… De savourer cette saveur unique de nouveautés…

Sauf que.

Il y a une espèce de raccourci mental plutôt dangereux :

Tout ce qui est nouveau n’est pas forcément bon.

Oui la société évolue vite, 

Oui les nouvelles technologies proposent toujours plus de choses,

Mais…

Attention à ne pas endormir notre esprit critique.

Au contraire !

Avec l’accélération du changement, nous sommes face plus souvent à des situations inédites,

Et nous devons rester aiguisé(e)s et plus que jamais faire notre opinion par nous-mêmes.

Est-ce que ça veut dire refuser systématiquement la tech ?

Nope.

Faut-il par défaut adouber toute nouvelle technologie ? 

Bien sûr que non !

Par exemple, si j’en reviens à un de mes sujets chers, la réunionite, c’est pareil.

La semaine dernière, des cadres de PME me partageaient les problèmes de leurs réunions internes, inutiles selon eux, etc.

…évidemment je leur parle de mon app.

Et alors là, c’est amusant de voir les 2 réactions polarisées au possible :

  1. Soit c’est « super, c’est dans l’air du temps avec le télétravail etc »
  2. Soit  « Faut-il vraiment une app pour ça ? »

Je comprends cette question.

De plus en plus de gens refusent de se compliquer la vie avec encore un outil, ça se comprend.

Même si…

… Ça me fait penser à ma cousine qui ne veut pas installer Skype parce que c’est compliqué (qui peut le contester !) 

Sauf que résultat… on se voit presque jamais ma chère cousine 🥺

Est-ce que la vraie question ne devrait pas concerner le problème, l’objectif ?

Face à nos challenges, quid de laisser de côté nos parti pris, nos sensibilités technophiles ou anti-tech,  pour se demander :

Si ce problème perdure depuis longtemps, 

que peut-on faire différemment pour amener un changement positif ?

Si ces questions vous parlent, 

J’ai fait une vidéo LinkedIn sur un des plus grands risques pour les PME : la non décision ou biais de Statu Quo

À demain,

Adrien